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SHERLOCK ST LOUIS ET CIE
SHERLOCK ST LOUIS ET CIE
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SHERLOCK ST LOUIS ET CIE

                                                                                       Price One Shilling

 LE JOURNAL DE SHERLOCK

A STUDY  IN   

SCARLET

THE SIGN OF THE FOUR

machine à écrire

&

Aujourd'hui, nous avons l'immense plaisir de recevoir dans le Club JUNE AND CIE qui vient nous parler des premiers livres de  Sir Arthur Conan Doyle...Un grand merci à June et Cie que vous pourrez retrouver sur son site : (https://juneandcie.com/) mais trève de bavardage je vous laisse en profiter et vous souhaite bonne lecture... 

A Study in Scarlett

Résumé.

Médecin militaire parti en Afghanistan comme assistant chirurgien, le docteur John Watson est renvoyé en Angleterre suite à une blessure à l’épaule. Il rentre donc à Londres dans un piteux état, souffrant des suites d’une fièvre jaune et du traumatisme de la guerre. Sans ami, ni parents pour l’accueillir le bon docteur voit ses finances rapidement aussi mises à mal que lui, s’il veut rester à Londres, il va devoir partager un appartement. Dans son malheur il croise le chemin d’un ancien camarade de médecine Stamford qui se fait fort de lui présenter un colocataire potentiel assez particulier : Mr. Sherlock Holmes.

 

En dépit du caractère singulier de celui-ci, l’affaire est promptement conclue et les deux hommes emménagent dans une adresse qui va devenir légendaire : le 221b, Baker Street. Rapidement, la curiosité de Watson est piquée par les activités, la personnalité et les connaissances de son étrange compagnon. Mais il n’est pas au bout de ses surprises. Car au 3, Lauriston Gardens, dans une maison abandonnée, un homme vient d’être retrouvé mort, sans blessure apparente, mais du sang sur le sol. Et sur le mur, une inscription : Rache.  Entraîné dans l’enquête aux côtés de Sherlock Holmes, le docteur Watson va découvrir qu’il adopté comme colocataire le plus surprenant des hommes et qu’avec le seul et unique détective consultant, l’aventure n’est jamais loin. Celle-ci les mènera bien au delà du brouillard de Londres, jusqu’aux plaines de l’Utah.

The game is on

Mon avis.

Tout au long de sa carrière de détective consultant, Sherlock Holmes vivra 60 aventures sous la plume de son créateur Sir Arthur Conan Doyle. 60 aventures à travers 56 nouvelles et 4 romans.

A Study in Scarlet, en raison de sa longueur, fait partie des quatre romans. C’est un roman d’exposition qui introduit les personnages et où ceux-ci se mettent en place. Sherlock Holmes entre en scène et nous le découvrons par les yeux du Docteur Watson. Ce qui est amusant car, en tant que lecteur, on profite pleinement de ses réactions, que l’on partage même parfois.

D’un point de vue narratif, on a droit à une poupée russe ou un oeuf de Pâques, c’est à dire une histoire dans une histoire. De mon point de vue, le récit pourrait  globalement se décomposer  ainsi :

  1. Entrée en scène des personnages : l’histoire du docteur Watson, sa rencontre avec Holmes et leur première phase de cohabitation où Watson intrigué observe longuement son comparse, cherchant à le cerner, prenant même des notes sur ses connaissances. C’est un moment assez comique dans le récit car Watson est  tout à tour curieux, incrédule, étonné, méfiant, stupéfait. Il craint de se faire duper par les démonstrations de Holmes, tel un spectateur avec un magicien.

  2. L’enquête : le télégramme de Lestrade vient faire basculer le récit en introduisant l’élément perturbateur : l’homme mort trouvé à Lauriston Gardens.  Désormais une nouvelle enquête se présente à Holmes, il va pouvoir faire preuve de ses talents sur le terrain. Watson le suit sur son invitation sans hésiter, il va donc pouvoir nous faire suivre le déroulement de l’enquête mais aussi observer Holmes en action, nous décrire ses méthodes et son attitude.

  3. Résolution : Le coupable est attrapé, mais tout n’est pas résolu. D’une histoire nous glissons dans celle que l’homme va nous conter. De retour au présent, Holmes nous donne le fin mot final de l’enquête, dévoilant ses méthodes d’investigations, comme il le fera toujours à l’avenir, sous le regard d’un Watson littéralement bluffé. Et nous aussi d’ailleurs.

On pourrait penser que le style pourrait être poussiéreux, lourd, ampoulé ou rédhibitoire,  A Study in Scarlet date tout de même de 1887, mais étrangement il n’en est rien.  Par quelle magie, quel tour de plume, Doyle réussit-il à garder un style si moderne ? C’est un mystère qu’il faudrait que Sherlock Holmes lui-même résolve.

Le récit vécu à travers les yeux de ce bon docteur est fin, drôle et enlevé. La plume d’Arthur Conan Doyle est incisive et précise, sachant poser des descriptions là où il faut pour entraîner le lecteur dans son univers, le placer dans les chaussures de Watson, nous faire voir ce qu’il voit, et peut-être ce qu’il aurait dû voir mais que Holmes lui n’a pas manqué. Ce point de vue apporte la touche d’humour qui dynamise l’ensemble car, à l’instar de Watson, on a l’impression de s’être fait dupé à chaque fois. Mais Doyle utilise des tournures de phrases simples, des structures grammaticales qui ne sont pas alambiquées à l’excès, afin de pas plomber le rythme du récit. Élément qui contribue non seulement à la fluidité du récit, à sa dynamique mais rend aussi plus aisée la lecture en langue originale, bien que le niveau de langage soit soutenu et le style littéraire admirable.

Cela se lit bien. Cela se lit avec plaisir. C’est savoureux, palpitant, drôle. Même en anglais, la lecture reste fluide. Ayant lu par deux fois l’intégrale en français et grande fan de la série de la BBC, je ne pouvais être grandement surprise par le récit. Je craignais même que ma lecture soit laborieuse. Tout au contraire, j’ai été agréablement étonnée. J’ai eu la sensation singulière mais très agréable de rentrer à la maison, de retrouver quelque chose qui m’avait manqué. Le style de Doyle m’est apparu encore plus piquant, plus vif que dans sa traduction française (qui était pourtant très bonne).

Et ce cher Watson m’a semblé plus fin d’esprit, moins simplement admiratif. On ressent ses doutes, sa méfiance, son incrédulité. C’est d’ailleurs là que j’ai pu constater que le personnage incarné par Martin Freeman était très en accord avec le Watson écrit par Doyle. J’aurais pu caler certaines de ses mimiques sur certaines phrases précises de l’original.

Quant à Holmes, ma foi, comment ne pas être au plus près du personnage qu’en retrouvant les mots de son créateur ? Sherlock était Holmes, fidèle à lui-même, mystérieux, brillant, un peu cabotin, un peu frimeur, un peu théâtral, parfois agaçant, mais toujours époustouflant.

Cette première lecture de l’original était un plaisir renouvelé. Une redécouverte pleine de saveurs (en dépit des excellentes traductions françaises) et je ne peux que conseiller aux aficionados de notre détective consultant de tenter l’expérience.

 

The Sign of the Four

Résumé.

Parution originale : 1890.

Format : roman 

 

Le calme plat règne à Baker Street où l’insolite duo formé par Sherlock Holmes et le Docteur Watson s’est installé depuis plusieurs mois. Face à l’oisiveté, au grand déplaisir du bon Docteur, Sherlock Holmes se livre à ses addictions. Heureusement une jeune gouvernante du nom de Mary Morstan fait son apparition au 221b, Baker Street et va tirer notre détective consultant des affres de l’ennui avec une bien étrange histoire. Son père, officier dans un régiment aux Indes, devait rentrer en Angleterre l’année où elle eut dix-sept ans. Mais la nuit précédant leur retrouvailles, à peine arrivé sur le sol anglais, l’homme disparaît sans laisser d’autre trace qu’une chambre d’hôtel empli de ses effets personnels.

Quelques années plus tard, une annonce dans le Times paraît à l’attention de la jeune femme, requérant son adresse. Celle-ci s’exécute, espérant des nouvelles de son infortuné père. A partir de ce moment, elle recevra chaque année, sans un mot, sans une indication, une perle de grande valeur. Mais cette fois-ci, son mystérieux correspondant  demande à la rencontrer, affirmant qu’elle a été lésée… Ne sachant que faire la jeune femme s’en remet à Sherlock Holmes. Se faisant, elle va entraîner notre tandem dans une aventure des plus insolites sous la marque du Signe des Quatre… Et chambouler la vie du Docteur Watson.

Mon avis.

Encore une fois, Doyle joue les poupées russes avec son intrigue, emboîtant les histoires les unes dans les autres, ce qui ménage le suspens. De l’histoire de Mary jaillit celle du Major Thaddeus Sholto et enfin celle du Signe des Quatre qui résout le mystère avec un dénouement des plus haletants.

Cet emboîtement maintient le lecteur sur ses gardes. Maintenant qu’il est un peu familier des méthodes de Holmes, il se tient à l’affût des indices. Dans chaque description de lieu, de scène, d’homicide, dans chaque récit,  il scrute, analyse, espérant en vain devancer le détective consultant.

 

« You know my methods. Apply them, and it will be instructive to compare results. »

Qu’il a de l’humour le monsieur ! A ce jeu-là, nous sommes forcément perdants, car Sherlock Holmes a déjà deux longueurs d’avance, mais quel plaisir de se piquer au jeu dans cette intrigue qui s’épaissit à vue d’oeil. Car, dans cet opus, nous sommes gâtés : une disparition, un plan,  le fabuleux trésor d’Agra, un cadavre terrifiant et terrifié dans une pièce close, un mystère venu des Indes et une revanche; Voilà pour le menu.

L’aventure palpite entre les lignes et Arthur Conan Doyle ne ménage pas ses efforts pour nous mettre dans l’ambiance. Ses descriptions feraient transpirer le brouillard londonien et la boue crayeuse des rues de la ville entre les pages. Quant à Pondicherry Lodge, quelle demeure ! J’aurais pu entendre le frottement des pas sur les tapis des escaliers en fibre de coco et craquer les planchers dans le noir.

Seul bémol de l’histoire : la complexité de l’intrigue la rend plus difficile à suivre que  A Study in Scarlett. Gare au lecteur qui se perdrait en route, même si le style de Conan Doyle reste fluide, piquant, drôle et addictif, ne perdant en rien de son charme.

« Morphine or cocaine ? »

Pour cette seconde aventure, le duo Holmes/Watson commence à se structurer, sur le terrain comme au niveau relationnel et Watson se fait une place sur le devant de la scène, aux côtés de Holmes. Si ce bon docteur demeure esbaudi des capacités de son insolite colocataire, il commence néanmoins à s’affirmer, à avoir l’esprit critique et de la répartie. Il perçoit sa froideur clinique dans ses analyses, son manque d’empathie, sa nonchalance affectée, ses effets de manche, un léger ego, une pointe de condescendance dans ses manières et surtout, plus que tout, il réprouve formellement son addiction aux drogues qu’il perçoit comme le gâchis d’un esprit si exceptionnel. En ce sens j’ai trouvé que leur tandem gagnait en saveur, Watson devenant la mauvaise conscience de Holmes, d’une certaine façon mais surtout s’investissait autant dans leurs aventures que dans leur amitié. Ça va drôlement mieux sa blessure à la jambe (ou l’épaule ?), vu comment il trotte pour courser les méchants le monsieur. 

Par ailleurs intervient le personnage de Mary Morstan qui va pas mal tournebouler ce cher Watson, que l’on sait sensible au charme féminin. Ce n’était probablement pas l’effet voulu par Doyle qui fait conter la chose par son personnage avec la pudeur dévolue à ces choses-là à l’époque, mais voir Watson aux prises avec ses sentiments comme un adolescent m’a paru tout à la fois  drôle et délicieusement charmant. L’emballement soudain de ses sentiments contraste singulièrement avec la froideur scientifique de Sherlock Holmes, soulignant encore une fois la différence de fonctionnement et de caractère entre les deux personnages.

 

Sherlock est totalement Holmes, jouant de ses effets tout en restant enfermé dans sa bulle, grommelant pour lui-même, le nez collé au sol tel un cochon truffier, se moquant subrepticement de la police. Ironique, résolument dopé à l’action, parfois impatient et totalement dépourvu de tact comme en témoignent ses déductions froides au sujet du frère de Watson.

C’est d’ailleurs dans ce volume qu’apparaissent pour la première fois des réparties restées célèbres telles :

 

« When you have eliminated the impossible whatever remains, however improbable, must be the truth. »

Au passage c’est aussi la première fois que nous entendons évoquer les qualités de boxer de Holmes, précieux atout du personnage qui aura son utilité dans d’autres aventures.

Et en série ça donne quoi ?

Dans la série de la BBC, l’intitulé The Sign of the Four a été repris en clin d’oeil sous le titre The Sign of Three en référence à la grossesse de Mary déduite par Sherlock dans le dit épisode.

Si l’épisode en lui-même ne reprend pas la trame narrative, en revanche de nombreux éléments du roman  sont présents à travers le fil narratif des différentes saisons, notamment 3 et 4.

  • Les fameuses déductions de Sherlock Holmes quant au frère de Watson grâce à sa montre sont présentées à l’écran dès le premier épisode de la série dans A Study in Pink, où la montre est remplacée par un téléphone portable et le frère devient une soeur.

  • Dans l’épisode 2 de la saison 2, The Hounds of Baskerville, on retrouve la fameuse citation : « When you have eliminated the impossible whatever remains, however improbable, must be the truth. »

  • Le fameux Morphine or Cocaine ? du Docteur Watson est repris à l’écran par son homologue dans  le spécial en version victorienne The Abominable Bride, qui fait le lien entre les saisons 3 et 4.

  • La capacité de Sherlock Holmes a reconnaître les cendres de différents cigares évoquée dans le roman est mentionnée à deux reprises à l’écran : en saison 2 dans A Scandal in Belgravia et en saison 3 dans The Sign of Three lorsque Sherlock passablement éméché brame qu’il connaît les cendres. 

  • Le personnage de Mary dans ses premières apparitions, tel qu’incarné à l’écran par Amanda Abbington, est en tous points semblables à la description qu’en fait le Docteur Watson dans le canon : blonde, de grands yeux bleus, le visage avenant et résolu.

Source Cumberbatchweb/ Copyright Hartswoodfilm/BBC One

  • Lisant le blog de John dans le premier épisode de la saison 3, Mary cite cet exact passage de l’original : So swift, silent, and furtive were his movements, like those of a trained blood-hound picking out a scent, that i could not but think whar a terrible criminal he would have made had he turned his energy and sagacity against the law, instead of exerting them in its defense. » 

  • Mary Morstan et le mystère d’Agra sont intimement liés dans les deux versions. A ceci près que dans la série, le trésor d‘Agra est la clé USB contenant son passé et des informations convoitées. D’ailleurs dans la série comme dans le canon, Mary Morstan est orpheline. ( Ep 2 et 3, saison 3, Ep 1, saison 4)

  • Le major Sholto est présent au mariage de Mary et John. On cherche effectivement à le tuer pour un fait relatif à son passé et c’est un officier militaire. Même si dans la série, l’actualisation du contexte en fait un vétéran d’Afghanistan, ancien supérieur de John.

  • Toujours au mariage de Mary et John dans la série (épisode 2 saison 3), lorsque Sherlock évoque leurs aventures ensemble, outre the elephant in the room et the hollow client, une séquence les montre, courants sur un toit face à un nain muni d’une sarbacane. Ce qui n’est pas sans rappeler notre mystérieux lanceur de fléchettes empoisonnés dans The Sign of the Four.

  • Wiggins, le lieutenant des Baker Street Irregulars est aussi présent dans la saison 3, sous l’apparence de Bill Wiggins, un drogué maltraité par Watson dont les dons d’observation vont être mis à profit par Sherlock. Cependant dans la série, les Baker Street Irregulars ne sont pas des enfants des rues, mais un réseau de sans- abris de façon générale.

  • La folle course avec le chien utilisé par Sherlock dans l’épisode 1 de la saison 4,  fait écho à celle avec Toby le chien auquel il a recourt dans le canon sur la piste de la trace de créosote et qui se termine sur la même déconfiture. Même s’ils ont dû se contenter d’un modèle approximatif de chien au casting.

Il y a certainement bien d’autres éléments qui m’ont échappé, mais de prime abord, ce sont ceux qui me reviennent en mémoire.

Pour l’heure, de nouvelles aventures guettent notre détective consultant. Irène Adler attend en coulisses de faire son entrée dans A Scandal in Bohemia. The game is afoot.

 

 

 

 

                                       Le détective détraqué ou les mésaventures de Sherlock Holmes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résumé.

Editions BakerStreet. Parution : Janvier 2017. Prix : 18€

Et si la belle mécanique finement huilée de la science de la déduction se détraquait.

Si parfois Sherlock Holmes se trompait ?

Voilà l’idée presque inconcevable dont sont partis les différents auteurs qui composent ce recueil. Trompé, floué, volé, le grand détective consultant se retrouve dans des situations plus insolites les unes que les autres à travers ce florilège de pastiches et de parodies, sous la plume talentueuse d’auteurs prestigieux. De J.M Barrie en passant par Maurice Leblanc, Jack London ou Jean Giraudoux, jusqu’à Sir Arthur Conan Doyle lui-même, tous se sont prêtés en leur temps à l’exercice, avec énormément de talent, d’humour et de tendresse pour ce personnage iconique.

Mon avis.

Que l’on s’amuse dans ce savoureux recueil ! Car, quel que soit le style, la plume est indubitablement malicieuse. Nos chers auteurs s’amusent comme des petits fous à maltraiter la figure emblématique de notre détective consultant, détraquant ses talents, le mettant en défaut, ridiculisant certains traits de caractère. Voilà Holmes pris à son propre jeu, tirant avec la plus imparable logique des conclusions absurdes, organisant des crimes pour mieux les résoudre, floué par Scotland Yard et bien d’autres situations improbables à y perdre son latin. Mais l’offense n’est pas grande, car Holmes maltraité l’est avec talent et tendresse. Car le moins que l’on puisse est que nos coquins littéraires commettent leur forfait de façon spirituelle, avec une maîtrise certaine du personnage. Ils élèvent le pastique et la parodie à un art de fin gourmet, et leurs textes, rédigés à différentes périodes, traduisent à merveille l’engouement et la fascination que suscita et continue de susciter le personnage de Sherlock Holmes.

Variant les inspirations et les angles d’attaque, ce recueil offre un pétillant cocktail humoristique, savoureux à tous points de vue pour tout mordu de Holmes.

Comme le dit si justement ma collègue holmésienne The Cannibal Lecteur, qui m’a mise sur la piste de cet ouvrage (qu’elle en soit remerciée !) : « Dommage que ça se lise si vite parce que j’en aurais bien repris quelques tranches, moi, d’un gâteau aussi plaisant que celui-là, même si certains auteurs ont rhabillé Holmes pour l’hiver, la moquerie est toujours gentille, amicale et drôle. » C’est en effet, le moins que l’on puisse dire et cela me paraît une excellente conclusion. 

 

 

 

                                                                                                              JUNE AND CIE 

sherlock holmes
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