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3 arcs de personnages dans le triangle dramatique de Karpman par K.M. WEILAND - USA

Photo du rédacteur: SHERLOCK, ST LOUIS ET CIESHERLOCK, ST LOUIS ET CIE

Dernière mise à jour : 2 déc. 2021







Le drame présente quelque chose d’une énigme intéressante. D’une part, le drame est l’essence de l’histoire. Sans elle et sa dissonance, son conflit et ses enjeux inhérents, il n’y a vraiment pas grand-chose dans une histoire. En tant qu’écrivains et lecteurs, nous aimons le théâtre.


L’ironie est que, dans la vraie vie, nous reconnaissons que le drame est souvent intrinsèquement destructeur. « Drama queen », « épargnez-moi le drame », « accro au drame » – ce sont toutes des références résolument péjoratives.


En effet, une partie de la raison pour laquelle nous aimons le drame dans la fiction est à cause de sa catharsis. Effacer le drame dans la vie réelle est une tâche souvent herculéenne, c’est donc un soulagement de voir des personnages s’attaquer à des problèmes beaucoup plus importants que les nôtres et les résoudre (souvent d’une manière que nous n’oserions jamais tenter nous-mêmes). De plus, parfois, nous aimons juste regarder une épave de train.


Le Triangle dramatique de Karpman est un modèle social (créé par le Dr Stephen Karpman, qui n’était pas si par hasard membre de la Screen Actors Guild) qui montre le cycle destructeur dans lequel les gens se présentent inconsciemment comme l’un des trois joueurs : victime, sauveteur ou persécuteur. (Remarque: Karpman a spécifiquement distingué la référence à la victime comme s’appliquant à quelqu’un qui « joue » à la victime, et non à quelqu’un qui a littéralement été blessé par une autre.) Des décennies plus tard, le coach en leadership David Emerald a proposé The Empowerment Triangle comme une « alternative positive au triangle dramatique », dans lequel il offrait les rôles plus proactifs de créateur, d’entraîneur et de challenger.



Depuis un certain temps, je réfléchis au triangle dramatique et à son lien inhérent à la fiction. Dans la vie réelle, la dynamique Drama-Triangle se prête à des cycles destructeurs d’agression passive impuissante. Lorsque nous nous identifions consciemment ou inconsciemment à l’un des trois acteurs – victime, sauveteur ou persécuteur – nous adoptons souvent des modèles de comportement qui nous permettent en fin de compte de nous dérobe à la responsabilité de nos propres motivations et actions.


Ceux qui s’identifient (ou se laissent identifier comme) persécuteurs ou méchants sont souvent consumés et contrôlés par une culpabilité inefficace et paralysante. Ceux qui s’identifient comme victimes attendent d’être sauvés de leur propre vie et / ou essaient de contrôler les autres avec culpabilité. Ceux qui s’identifient comme le Sauveteur ou le Héros (ce que la plupart d’entre nous préfèrent) se sentent obligés et / ou acquièrent de l’estime de soi de manière codépendante en sauvant les autres de leurs propres erreurs et responsabilités.


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Pour continuer de lire, visiter : https://www.helpingwritersbecomeauthors.com


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